– Cette planète est comme un terrain de chasse et on en est le gibier.
Royce (Adrien Brody) le mercenaire, Isabelle (Alice Braga) la sniper israélienne, Edwin (Topher Grace) le médecin, Stans (Walton Goggins) le meurtrier condamné à mort, Nikolai (Oleg Taktarov) le commando russe, Hanzo (Louis Ozawa Changchien) le Yakuza, Mombasa (Mahershala Ali) le membre d’un escadron de la mort, Cuchillo (Danny Trejo) le tueur à gages et Ronald Noland (Laurence Fishburne) un soldat américain se retrouvent en un lieu inconnu. Dans la jungle des pièges ont été posés et des fauves n’appartenant à aucune espèce animale connue les attaquent. Lorsqu’ils découvrent des planètes inconnues dans le ciel il leur faut conclure qu’ils ne se trouvent pas sur Terre.
Le principe de l’histoire repose sur une inversion par rapport aux premiers films de la franchise Predator. Cette fois ce n’est plus un Predator qui débarque sur Terre mais des humains qui sont transportés sur une planète où les Predators peuvent les chasser.
Problème pour le gibier à deux pattes, même s’ils survivent comment pourront-ils rentrer chez eux ? Complication supplémentaire : il s’avère que certains des Terriens ont quelque chose à cacher. Mais il n’y a pas quelque chose de plus préoccupant ? Ah oui, le titre… Predators avec un « s ». C’est comme pour le film Aliens, le « s » n’annonce rien de bon.