Elektra

Elektra, dont les malheureux spectateurs du navet Dardevil se souviennent, revient.

La très athlétique Jennifer Garner bénéficie d’une résurrection express et suit un stage accéléré pour devenir ninja. Mais son passé trouble la tourmente trop aussi se dirige-t’elle du côté obscur et devient assassin.

Sur son chemin ensanglanté le hasard, ou plutôt une machination amicale de son ancien gourou, l’a fait rencontrer le beau docteur Kovac et sa fille. Cette dernière possède des pouvoirs convoités évidemment par les forces du mal et Elektra ayant un bon fond se range du côté des gentils et savate les vilains ninjas et autres mutants.

Côté scénario, on est très loin de Sophocle, côté dialogues idem. Le film va même jusqu’à offrir quelques longueurs malgré une durée courte (1H36).

Mais derrière ces imperfections se cache une bonne surprise et on se laisse prendre au jeu de cette super nana qui bastonne des machos en manque de virilité. Les scènes d’actions sont très bien filmées et agréables à voir. Les méchants sont originaux et crédibles.

Ce film n’est certes pas le meilleur de l’année mais en soirée pizza c’est le top !