Présentation de l’éditeur
Quand le rideau se lève sur des souvenirs enfouis…
2011. La célèbre actrice Laurel Nicolson se rend dans le Suffolk, au chevet de sa mère âgée. Dans la ferme de son enfance, la comédienne est assaillie par les souvenirs, et plus particulièrement par les images d’un après-midi d’été étouffant, cinquante ans auparavant.
Partie se réfugier dans une cabane perchée dans les arbres afin de rêvasser tranquillement, Laurel, alors adolescente, avait vu sa mère poignarder un inconnu. Un événement que personne n’avait évoqué par la suite. Hantée par ce drame resté secret, Laurel décide de plonger dans le passé de sa famille. Elle trouve dans le grenier une photographie datant de la Seconde Guerre mondiale qui lui révèle l’existence d’une certaine Vivien…
Avis de Sarah O.
Nous rencontrons Laurel au début des années 60. Elle a alors 16 ans. C’est une jeune adolescente rêveuse qui souhaite partir à Londres pour devenir actrice. Elle a trois soeurs et un frère dont elle est l’aînée. Elle est un peu à contre-courant, elle veut autre chose.
Nous retrouvons alors Laurel en 2011 devant l’hôpital où sa mère passe ses derniers jours. Elle est devenue une actrice célèbre, deuxième personnalité préférée des Britanniques. En fouillant dans les affaires de sa mère, Laurel découvre une photographie qui la remet sur les traces d’un souvenir qu’elle pensait avoir oublié.
Usant d’un de ses procédés narratifs préférés, Kate Morton enchaîne alors les allers-retours entre le passé et le présent, chose toujours un peu complexe au début d’un récit, mais çà prend corps au bout de quelques pages.
Si vous cherchez un roman à tiroirs, une belle histoire d’amour, émaillée de multiples mystères, alors cet ouvrage est fait pour vous. Kate Morton nous livre donc ici un roman haletant qui, une fois commencé, vous trotte dans la tête jusqu’au dénouement. Un roman prenant, complètement addictif et surtout… surprenant!
Fiche technique
Format : broché
Pages : 573
Editeur : Presse de la Cité
Sortie : 4 avril 2013
Prix : 22,50 €