Présentation de l’éditeur
15 août 1560.
Sacrilège à la Sublime Porte : on a retrouvé un cadavre sur le chantier d’une mosquée !
Pour le capitaine Sertaç qui commande la garde d’Istanbul et sa petite-fille Aliyé, la fin violente d’un homme constitue un phénomène ordinaire. Cependant, cette fois, le mort n’est autre que maître Ali Danishmend, un des érudits les plus controversés de l’université de la capitale ottomane.
A-t-il vraiment été assassiné ou s’est-il suicidé ? Et que représentent ces schémas et équations qu’il avait dissimulés dans la doublure de ses habits ?
Secondés par le célèbre architecte Mimar Sinan, ancien collègue d’Ali, les deux enquêteurs vont devoir démêler l’écheveau d’une intrigue où le rôle de la foudre divine n’est pas aussi abstrait qu’on veut bien leur faire croire…
Avis de Ada
Nouvelle incursion de Nicolas Cluzeau dans l’Istanbul de 1560. Après Rouge Ténèbres, l’auteur nous replonge dans une sordide histoire de meurtre.
Moins sombre que le premier livre, Les Sept Foudres d’Allah nous permet de retrouver Aliyé dans une nouvelle enquête sur le mort d’un scientifique peu conformiste. Aliyé, et son grand-père Sertaç, se retrouvent une fois de plus entre science et religion, modernisme et conservatisme.
Une novella qui se lit d’une traite, une enquête passionnante, où fantastique (et/ou religieux ?) se mêlent pour notre plus grand plaisir. Des paysages grandioses – Istanbul la grande, toujours aussi belle – une invitation au voyage entre mythe et réalité. Autrement dit, un livre court mais complet, avec tous les ingrédients nécessaires pour vous faire passer un excellent moment.
À dévorer !
Fiche technique
Format : broché
Pages : 110
Editeur : Griffe d’Encre
Illustration de couverture : Zariel
Sortie : 31 mai 2012
Prix : 9 €