– Armand n’est pas celui que tu penses.
– Tu ne sais pas ce que je pense qu’il est.
– Moi, je pense savoir ce que tu penses qu’il est.
– Non, non, non, parce que tu ne penses pas.
1850, Alejandro (Antonio Banderas) alias Zorro est devenu le respectable Don Alejandro De La Vega, marié depuis dix ans à la belle Elena (Catherine Zeta-Jones). Il lui a promis de ne plus jouer les justiciers et puis a t’on encore besoin de Zorro alors que la Californie se prépare à rejoindre les États-Unis ?
Mais ceci déplait à certains et des bulletins de vote sont volés. D’où l’intervention d’un cavalier masqué vêtu de noir. Seulement, voilà, Zorro a brièvement perdu son masque et deux agents de l’agence Pinkerton ont vu son visage. Il y a plus grave. Les exploits de Zorro… sont arrivés aux oreilles d’Elena. D’où dispute, rancœur et divorce !
Bon, Zorro peut désormais se concentrer à ses enquêtes, tandis qu’Elena… se rapproche d’un dénommé Armand (Rufus Sewell).
Or, l’enquête de Zorro le conduit à soupçonner Armand d’être liés aux mystérieuses activités visant à saper les États-Unis.
Cette suite du film Le Masque de Zorro (1998) se caractérise par son dynamisme que ce soit dans les combats ou bien dans les relations Zorro/Elena.
Sur le plan historique, c’est une autre histoire. L’Agence Pinkerton existait bien en 1850, mais sous le nom de l’Agence de police du Nord-Ouest. De plus, le fusil à répétition Henry qui apparaît dans le film a dix ans d’avance… de même que les soldats confédérés !