Portrait Chtinois, spécial frites : Maxime Gillio

N’oubliez pas de noter la date du Salon dans votre agenda (et de venir à Sailly-Labourse !), soit le 3 juin et pour plus d’infos, connectez-vous sur le site !

Onirik : Pouvez-vous présenter votre pomme en quelques mots ?

Maxime Gillio : Plutôt bonne pâte, une chair encore ferme, avec juste ce qu’il faut d’amidon pour rester droit dans ses bottes. Ma devise ? « Si tu avances, quand tubercule, comment veux-tu, comment veux-tu… ? »

Onirik : Comment aimez-vous vos frites (en accompagnement de quoi, et quelle sauce !) ?

Maxime Gillio : Mon péché mignon ? Avec des œufs aux plats un peu grillés sur les bords, et un bon gros morceau de fromage à pâte molle à côté. Un brie ou un camembert de préférence. Pas de sauce, sinon.

Onirik : Et avec quoi les arrosez-vous ?

Maxime Gillio : Du vinaigre.

Onirik : Qu’est-ce qui en général vous donne la patate ?

Maxime Gillio : Quand un beau salon comme Envie de Livres prend racine.

Onirik : Au contraire, qu’est-ce que vous ne digérez pas au quotidien ?

Maxime Gillio : D’avoir l’impression de pédaler dans la purée.

Onirik : Pour vous, quelle est la meilleure préparation de frites (fines, épaisses, sautées, etc.) ?

Maxime Gillio : Contrairement à la légende, la taille importe beaucoup. Cela dit chacun aura son calibre préféré, mais deux cuissons différentes, bon Dieu, et à la graisse de bœuf !

Onirik : Quel est votre genre littéraire de prédilection, et celui où vous vous sentez à l’étroit ?

Maxime Gillio : Pas de genre de prédilection, j’ai toujours envie de me frotter à de nouvelles recettes. Cela dit, je me sentirais à l’étroit dans les romans de cape et d’épée, surtout ceux avec des mousquetaires. L’étroit mousquetaire, bien sûr…

Onirik : Est-ce que vos héros aiment les patates ?

Maxime Gillio : Ils aiment surtout en distribuer !

Onirik : Qu’étiez-vous prêt à imposer à Richard Angevin pour qu’il sorte sa baraque à frites pour le Salon (des détails bien croustillants seraient appréciés) ?

Maxime Gillio : J’ai personnellement une vidéo de Richard, fin bourré, en train d’imiter Nicolas Sarkozy (avec un indéniable talent), la cravate nouée autour du front, tanguant dangereusement sur la table sur laquelle il est monté, avant de se lancer dans un kazatchok endiablé.

Onirik : Quelle est votre actualité brûlante ?

Maxime Gillio : Thérapie du crime, bien sûr, co-écrit avec la maîtresse queux de la romance contemporaine, Sophie Jomain.

Onirik : Un petit mot pour les visiteurs d’envie de livres pour leur mettre l’eau à la bouche ?

Maxime Gillio : Fricadelle ou cervelas ?