Royal 17 : Tome 1 – Avis +/-

– Il n’y a rien que je ne désire pas chez toi.

La route de Lumina Hanaki croise celle d’Allen Kazami. Les deux jeunes gens ne peuvent espérer se fréquenter. Cette pensionnaire du lycée royal est en effet l’héritière d’une famille richissime. Mais Allen possède un moyen de pression. N’a t-il pas vu Lumina s’empiffrer dans un fastfood? Cependant il a son utilité. Il possède un certain talent pour les arts martiaux, ce qui est très utile pour la débarrasser des importuns comme ces sauvageons qui se retrouvent encastrés dans un mur. Il poursuit son oeuvre salvatrice au lycée Royal en la débarrassant de…une minute celui-là c’est son fiancé et…trop tard.

Club papillon

– Il préfère son travail aux femmes. Il ne m’a même pas sauté dessus.

Seri voulait s’amuser en boîte. C’est là que Toki Sugawara la rencontre et l’emmène aussitôt chez lui. Son but est de la déshabiller pour…la rhabiller aussitôt avec de la lingerie de sa conception. Et voici Seri dans le rôle de modèle alors qu’elle avait d’autres idées en tête.

Melmo passe-partout !

– ça fait 7 ans que je suis naufragé et que je vis de manière ascétique! Une femme est enfin venue! Merci, mon dieu!

Melmo la sorcière a interrompu son voyage en balai pour faire du bronzage intégral sur une île déserte. Mais qui dit île déserte dit naufragé (masculin bien entendu).

Avec la série Royal 17, comme avec les deux courts-récits présents dans ce volume, la mangaka accentue des situations hors-normes, plaçant ses héroïnes dans un contexte de confrontation avec la gente masculine. Sur un ton léger et avec quelques scènes chaudes, elle établit une règle: l’inattendu doit imposer sa marque.
Cependant il n’est pas certain que ses personnages apprécient.

Fiche Technique

Traduction : Kyoko Takeda
Adaptation graphique : Thomas Meys
Éditeur : Akiko
Sortie: novembre 2006
Prix: 6,95 €
Inédit, poche, noir & blanc, sens de lecture japonais, 192 pages