Jason Priestley a eu du mal à sortir du personnage de Brandon Walsh de Beverly Hills. Tant de mal qu’il s’est réfugié dans la production et la réalisation, tout en faisant des apparitions dans des séries plutôt que d’accepter des rôles récurrents.
Avec Call Me Fitz, il a enfin l’occasion de faire exploser son image lisse de brave type au physique parfait. Et on peut dire qu’il s’en donne à coeur joie ! La série, c’est un peu My name is Earl à l’envers…
Alors que Brandon Lee après une rencontre musclée avec une voiture tente de se racheter (avec certes beaucoup de difficultés mais une évidente bonne volonté), Richard Fitzpatrick – que tout le monde appelle Fitz – a un accident qui envoie sa cliente dans le coma.
C’est à ce moment là qu’un homme rachète la moitié des parts de la concession de voitures d’occasion familiale et tente de faire rentrer notre héros dans le droit chemin. Il dit être sa conscience et connaît de nombreux détails qui étayent son affirmation.
Au contraire de Earl, Fitz lui n’a aucune envie de se ranger des voitures, bien au contraire… C’est un coureur, alcoolique qui partage avec l’un des mécano un amour sincère pour la drogue…
Rude vie pour sa conscience !