Ah… « Groupir », ça veut dire « ensemble » ? Ah ben tu vois, je sais déjà un mot ! « Groupir… ja ja… Moi comprir ! »
Tassin, Chaudard et Pithivier (Henry Guybet, Pierre Mondy et Jean Lefébvre) les trois vaillants soldats de 1940 se retrouvent une fois de plus en fâcheuse posture… mais cette fois en caleçon.
Heureusement, la mère Crouzy (Jacquie Sardou) les ravitaille en vêtements, ceux d’officiers français.
C’est ainsi qu’ils se font capturer. Mais leur statut « d’officier » leur donne droit à des égards de la part de leurs geôliers (des patates !).
Néanmoins, ils font le choix de l’évasion en suivant des plans quelques hasardeux. Ceci explique que leur supérieur immédiat, le capitaine Dumont (Pierre Tornade), se demande régulièrement comment ce trio d’incompétents procède pour se retrouver (temporairement) libre, que ce soit en caleçon ou vêtus d’un uniforme français ou allemand.
Pendant ce temps, leur supérieur plus lointain, le Colonel Blanchet (Robert Lamoureux), se retrouve isolé depuis que son état-major a découvert les vertus du repli stratégique en le laissant sur place et ceci malgré ses protestations (« Mais pas si vite !« ).
Aussi pourquoi ne pas mener une guerre personnelle à coups d’explosifs « Le fil rouge sur le bouton rouge, le fil vert sur le bouton vert« .
Cette suite directe du film Mais où est donc passé la 7e compagnie débute, là où le film précédent avait laissé ladite compagnie. Cependant, le soldat Tassin (Aldo Maccione) a vu son rôle repris par Henri Guybet , Aldo Maccione demandant un cachet trop élevé. Ceci obligea Robert Lamoureux à retourner la dernière scène du premier film où Tassin se trouvait dans le blindé allemand.