On dit que tu as été mordu par un cobra royal.
Oui, c’est vrai… Mais après cinq jours d’agonie épouvantable… le cobra est mort.
L’équipe des Expendables a le malheur de revoir l’agent de la C.I.A. Chapelle (Bruce Willis) qui leur rappelle que leur dernière mission pour le compte de l’agence a laissé un sérieux contentieux. La seule raison pour laquelle ils n’ont pas été envoyés à Guantanamo était qu’il viendrait un jour où ils devraient payer leur dette. Et ce jour est arrivé !
La nouvelle mission des mercenaires consiste à ramener le contenu d’un coffre-fort se trouvant à l’intérieur d’un avion s’étant crashé en Albanie. Le coffre bénéficie d’une double protection : son code d’ouverture change régulièrement et le coffre explose suite à toute erreur de manipulation.
Aussi, l’experte Maggie Chang (Yu Nan) est-elle imposée à l’équipe.
Mais sur place, une autre équipe de mercenaires menée par Jean Vilain (Jean-Claude Van Damme) subtilise le contenu du coffre et assassine l’un des Expendables.
D’où une réaction des plus limpides de la part des Expendables survivants :
– C’est quoi le plan ?
– Le traquer, le trouver, le tuer !
Outre l’aspect dramatique, ce film développe également l’autoparodie et les allusions. Ainsi Trench (Arnold Schwarzenegger) déclare « Je suis revenu » (cf. « Je reviendrais » dans Terminator) et en s’adressant à Chapelle lui adresse un « Yippi-kay-yee » dans le style de John McClane.
Pendant ce temps, le Suédois Gunnar (Dolph Lundgren) essaie de réaliser une explosion en utilisant ses compétences en chimie. Précisons que le Suédois Dolph Lundgren est effectivement diplômé en chimie.
Ce deuxième volet des aventures des Expendables bénéficie d’un adversaire sérieux à envoyer à Barney (Sylvester Stallone). Ceci explique le départ de Yin Yang (Jet Li) au début du film. Lorsqu’on doit chercher quelqu’un pour s’opposer à JCVD, on envoie l’expert en arts martiaux Jet Li. Si celui-ci n’est pas disponible… Sylvester Stallone a un problème.