– Tu essaies de me charmer avec des poèmes en pleine apocalypse de zombies ?
Cela devait arriver : une Française a ravagé le monde. À partir de cette première malade, le virus qui transforme les gens en zombies s’est répandu sur le monde. 28 jours plus tard [[film de Danny Boyle (2002)]] 83 % de la population européenne était infectée. Puis la pandémie a atteint tous les continents. Six mois plus tard 98 % de la population des USA était éradiquée.
À présent, un petit groupe de rescapés cherche à atteindre l’île refuge de Catalina au large des côtes de la Californie.
La progression se fait à pied, car une bombe électromagnétique a rendu inutilisable tous les véhicules. Problème : les rescapés espèrent qu’un ferry pourra leur permettre d’atteindre l’île (chercher l’erreur).
L’inconvénient avec les histoires de zombies, c’est qu’il est régulièrement nécessaire d’innover. Ici, le scénario fait preuve de quelques originalités :
– certains zombies sont capables de courir
– certains animaux sont également affectés par le virus
– la progression pédestre et donc hautement dangereuse ( à ma connaissance, il n’y a pas beaucoup de survivants qui pensent à récupérer un poids lourd pour écraser tous les zombies sur leur route)
– l’utilisation d’arcs pour éliminer les nuisances sans bruit
– idem pour le sabre de samouraï qui… euh, non pardon Michonne ce n’est pas vraiment une innovation.