Le mystère de l’identité de Jack L’Eventreur a fait couler beaucoup d’encre depuis ses premiers meurtres. Tout a été passé en revue, mais sans les moyens actuels, il a été impossible pour la police de Whitechappel comme pour Scotland Yard de désigner sans doute possible un coupable.
Mais un collectionneur privé a fait analyser l’ADN trouvé sur le châle qui avait été retrouvé sur le corps sans vie de Catherine Eddowes (l’avant dernière victime officielle) et il correspond (pour faire court) à l’un des suspects : Aaron Kosminski.
Automne 1888 à Londres, la mort de cinq prostituées a transformé ce quartier misérable en antichambre de l’enfer. De tous les suspects, Aaron Kosminski avait été reconnu formellement par un témoin avant que ce dernier se rétracte pour ne pas susciter une nouvelle haine antijuive.
Relâché, cet homme frustre a été reconnu mentalement malade et interné... et on n’a plus entendu parler de Jack L’Eventreur. Malgré cette découverte qui remet en question les théories de pratiquement tous les écrivains et historiens, le mystère est pour l’instant entier sur le reste des indices.
Qui a écrit les lettres transmises à la Police ? Comment Kosminski a pu échapper aux recherches intensives de l’époque ? Comment a-t-on pu croire que les crimes étaient effectués par des personnes éduquées, voire des médecins ou chirurgiens...
A suivre...
Purdey
Article source : Daily Mail